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Depuisle 1er janvier 2016, tous les employeurs doivent faire bénéficier leurs salariés d'un régime de remboursement complémentaire des frais de santé obligatoire, conformément à l'article L. 911-7 du code de la sécurité sociale.Cette couverture est mise en place à titre obligatoire pour les salariés soit par accord collectif, [] soit par décision unilatérale de l'employeur
Les salariĂ©s garantis collectivement, dans les conditions prĂ©vues Ă l'article L. 911-1, contre le risque dĂ©cĂšs, les risques portant atteinte Ă l'intĂ©gritĂ© physique de la personne ou liĂ©s Ă la maternitĂ© ou les risques d'incapacitĂ© de travail ou d'invaliditĂ© bĂ©nĂ©ficient du maintien Ă titre gratuit de cette couverture en cas de cessation du contrat de travail, non consĂ©cutive Ă une faute lourde, ouvrant droit Ă prise en charge par le rĂ©gime d'assurance chĂŽmage, selon les conditions suivantes 1° Le maintien des garanties est applicable Ă compter de la date de cessation du contrat de travail et pendant une durĂ©e Ă©gale Ă la pĂ©riode d'indemnisation du chĂŽmage, dans la limite de la durĂ©e du dernier contrat de travail ou, le cas Ă©chĂ©ant, des derniers contrats de travail lorsqu'ils sont consĂ©cutifs chez le mĂȘme employeur. Cette durĂ©e est apprĂ©ciĂ©e en mois, le cas Ă©chĂ©ant arrondie au nombre supĂ©rieur, sans pouvoir excĂ©der douze mois ; 2° Le bĂ©nĂ©fice du maintien des garanties est subordonnĂ© Ă la condition que les droits Ă remboursements complĂ©mentaires aient Ă©tĂ© ouverts chez le dernier employeur ; 3° Les garanties maintenues au bĂ©nĂ©fice de l'ancien salariĂ© sont celles en vigueur dans l'entreprise ; 4° Le maintien des garanties ne peut conduire l'ancien salariĂ© Ă percevoir des indemnitĂ©s d'un montant supĂ©rieur Ă celui des allocations chĂŽmage qu'il aurait perçues au titre de la mĂȘme pĂ©riode ; 5° L'ancien salariĂ© justifie auprĂšs de son organisme assureur, Ă l'ouverture et au cours de la pĂ©riode de maintien des garanties, des conditions prĂ©vues au prĂ©sent article ; 6° L'employeur signale le maintien de ces garanties dans le certificat de travail et informe l'organisme assureur de la cessation du contrat de travail mentionnĂ©e au premier alinĂ©a. Le prĂ©sent article est applicable dans les mĂȘmes conditions aux ayants droit du salariĂ© qui bĂ©nĂ©ficient effectivement des garanties mentionnĂ©es au premier alinĂ©a Ă la date de la cessation du contrat de travail. LOI n° 2013-504 du 14 juin 2013 art. 1 X L'article L. 911-8 du code de la sĂ©curitĂ© sociale entre en vigueur 1° Au titre des garanties liĂ©es aux risques portant atteinte Ă l'intĂ©gritĂ© physique de la personne ou liĂ©s Ă la maternitĂ©, Ă compter du 1er juin 2014 ;2° Au titre des garanties liĂ©es au risque dĂ©cĂšs ou aux risques d'incapacitĂ© de travail ou d'invaliditĂ©, Ă compter du 1er juin 2015.
ArticleL911-4. Des arrĂȘtĂ©s du ministre chargĂ© de la sĂ©curitĂ© sociale et du ministre chargĂ© du budget peuvent Ă©largir, sur demande ou aprĂšs avis motivĂ© de la commission mentionnĂ©e Ă l'article L. 911-3, tout ou partie des dispositions d'accords Ă©tendus conformĂ©ment Ă ce mĂȘme article Ă des employeurs, Ă des salariĂ©s et anciens
Un taux de participation minimal de 50% Une certaine libertĂ© est accordĂ©e par lâemployeur dans la dĂ©termination du taux de participation au financement de la mutuelle dâentreprise obligatoire. La seule contrainte quâil supporte est de respecter le taux minimal de 50%. Cela veut donc dire quâil doit financer au moins la moitiĂ© du montant des cotisations due au titre de la complĂ©mentaire santĂ© de groupe. Cette limite minimale peut ĂȘtre relevĂ©e si un accord de branche fixe un taux de participation supĂ©rieur. Câest notamment le cas pour les entreprises dont lâactivitĂ© principale relĂšve de la convention collective nationale de la coiffure et des professions connexe. En effet, lâaccord de branche qui met en place le rĂ©gime "Frais de santĂ©" impose aux gĂ©rants de salons de coiffure de participer Ă hauteur de 59,6% du montant des cotisations. Dans tous les cas, la participation financiĂšre de lâemployeur peut ĂȘtre supĂ©rieur au minimum prĂ©vu dans les textes. Elle peut mĂȘme aller jusquâĂ une prise en charge totale. Bien que cela puisse paraĂźtre avantageux pour les salariĂ©s, cela nâest pas toujours le cas en pratique. En effet, la part payĂ©e par lâemployeur au titre des cotisations dâassurance santĂ© est considĂ©rĂ©e comme un avantage en nature qui doit ĂȘtre inclus dans le revenu imposable des salariĂ©s. Une participation Ă 100% pourrait alors avoir des consĂ©quences sur la tranche dâimposition des employĂ©s mais Ă©galement sur leur quotient familial. Or celui-ci est pris en compte pour lâobtention de certaines prestations sociales. Il est donc conseillĂ© Ă un employeur qui dĂ©sire prendre en charge Ă 100% les cotisations dues au titre de la mutuelle dâentreprise obligatoire dâengager des discussions avec ses salariĂ©s afin de dĂ©terminer ensemble les consĂ©quences dâune telle dĂ©cision. Les conditions dâexonĂ©ration des charges sociales La participation financiĂšre de lâemployeur au paiement des cotisations de la complĂ©mentaire santĂ© de groupe lui ouvre droit Ă une exonĂ©ration de charges sociales, plafonnĂ©e Ă 6% du PASS plafond annuel de la sĂ©curitĂ© sociale et Ă 2% de la rĂ©munĂ©ration annuelle brute. Elle est Ă©galement considĂ©rĂ©e comme une charge et peut donc ĂȘtre dĂ©duite du bĂ©nĂ©fice imposable. Pour bĂ©nĂ©ficier de ces avantages fiscaux, lâemployeur doit toutefois respecter un certain nombre de conditions, et notammentle choix dâun contrat dâassurance santĂ© dit responsable auprĂšs dâun organisme assureur une participation minimale de 50% pour le paiement des cotisations qui ne doit pas venir en remplacement dâune partie de la rĂ©munĂ©ration du salariĂ© lâadhĂ©sion obligatoire de tous les salariĂ©s, en dehors de ceux qui peuvent bĂ©nĂ©ficier dâun des cas de dispenses prĂ©vus la participation financiĂšre de lâemployeur doit ĂȘtre Ă un taux identique soit pour tous les salariĂ©s, soit pour les salariĂ©s de mĂȘme niveau cadres et non cadres la mise en place de la complĂ©mentaire santĂ© de groupe obligatoire suite Ă un accord collectif, une consultation des employĂ©s ou une dĂ©cision unilatĂ©rale de lâemployeur conditions prĂ©vues dans lâarticle du code de la sĂ©curitĂ© contre, les sommes versĂ©es par lâemployeur au titre de la complĂ©mentaires santĂ© de groupe restent assujetties Ă la CSG contribution sociale gĂ©nĂ©ralisĂ©e et Ă la CRDS contribution au remboursement de la dette sociale. Par ailleurs, si lâentreprise compte plus de 9 salariĂ©s, elles sont Ă©galement soumises au forfait social au taux de 8%. Quid des cotisations des familles ? La mutuelle dâentreprise peut prĂ©voir une affiliation facultative ou obligatoire des ayants droit du salariĂ©s conjoint et enfants. Sâil sâagit dâune affiliation obligatoire, lâemployeur a alors lâobligation de participer au financement des cotisations et pourra bĂ©nĂ©ficier des avantages fiscaux citĂ©s ci-dessus pour lâensemble de sa participation. Si lâaffiliation est facultative, lâemployeur a le choix soit le surplus de cotisations est Ă la charge intĂ©grale du salariĂ©, soit lâemployeur en finance une partie ou la totalitĂ©. Mais, dans ce dernier cas, il ne bĂ©nĂ©ficie dâaucun avantage fiscal au titre de cette participation. Faites des Ă©conomies ! En 2 min, trouvez une couverture optimale Ă vos salariĂ©s. Votre comparateur de mutuelle entreprise obligatoire. Comparez les meilleures mutuelles proï»żLaDirection de la SĂ©curitĂ© sociale vient apporter des prĂ©cisions sur le champ de cette obligation. 4.1. La participation du ComitĂ© dâentreprise. Sâil est admis que le financement du ComitĂ© dâentreprise soit assimilĂ© Ă une contribution de lâemployeur au sens de lâarticle L. 242-1 du Code de la SĂ©curitĂ© sociale, il nâen va En vigueur A moins qu'elles ne soient instituĂ©es par des dispositions lĂ©gislatives ou rĂ©glementaires, les garanties collectives dont bĂ©nĂ©ficient les salariĂ©s, anciens salariĂ©s et ayants droit en complĂ©ment de celles qui rĂ©sultent de l'organisation de la sĂ©curitĂ© sociale sont dĂ©terminĂ©es soit par voie de conventions ou d'accords collectifs, soit Ă la suite de la ratification Ă la majoritĂ© des intĂ©ressĂ©s d'un projet d'accord proposĂ© par le chef d'entreprise, soit par une dĂ©cision unilatĂ©rale du chef d'entreprise constatĂ©e dans un Ă©crit remis par celui-ci Ă chaque intĂ©ressĂ©. â Versions
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