Forumdes associations : une rentrĂ©e en signe de sortie de crise sanitaire et lâoccasion pour la ville de La Courneuve de proposer de mutualiser des Ă©vĂ©nements. Câest ainsi que le forum des associations de la ville se dĂ©roule le samedi 11 septembre sur la place de la FraternitĂ© parallĂšlement Ă la Rencontre des Jonglages.
Mieux que la petite maison en carton de la chanson ĂąâŹâ Ă pirouette, cacahuĂšte Ă» ĂąâŹâ un Ă©difice gigantesque va voir le jour sur la place de la FraternitĂ©, Ă La Courneuve, en marge du festival Rencontre des jonglages. Haut de plusieurs mĂštres, vous ne risquez pas de passer Ă cĂÂŽtĂ© sans le voir. Vous pourrez mĂÂȘme participer Ă sa construction vendredi et Ă sa destruction plusieurs jours que, sous la houlette du plasticien Olivier GrossetĂÂȘte, un groupe de crĂ©atifs met les boĂtes en volume, scotche Ă tours de bras et assemble arches, fenĂÂȘtres et charpentes. Vendredi, niveau aprĂšs niveau, le bĂÂątiment de carton va prendre de la hauteurĂąâŹÂŠ jusqu'Ă dĂ©passer le centre culturel Houdremont il atteindra 15 jours plus tard, il s'Ă©croulera comme un chĂÂąteau de cartes. Vous avez de l'Ă©nergie Ă revendre ? Retroussez vos manches et participez Ă la destruction. Cette ultime Ă©tape, plus courte, est sans aucun doute la plus spectaculaire !Quoi les villes qui place de la FraternitĂ©, Ă La de vendredi Ă entrĂ©e libre.
Samedi14 mai Ă Houdremont et sur la place de la FraternitĂ©, Ă partir de 16h. En savoir plus sur Place au cirque/2; Les enfants c'est moi. Famille. Jeune public. Théùtre. Histoire dâamour. Câest lâhistoire dâune femme clown qui nâa pas tout Ă fait quittĂ© lâenfance et devient mĂšre pour la premiĂšre fois. Elle va vite se laisser dĂ©passer par lâarrivĂ©e de cet enfant dont
ï»żSociĂ©tĂ© Place de la FraternitĂ©, Ă La Courneuve, prĂšs de 80 personnes originaires de CĂŽte d'Ivoire ont Ă©tĂ© dĂ©logĂ©es par la police de leur campement de fortune. Ultime Ă©pisode d'un bras de fer commencĂ© il y a seize mois. Lundi 7 novembre, comme tous les matins depuis bientĂŽt sept mois, MassandjĂ© Kamara, 26 ans, s'est rĂ©veillĂ©e sous sa tente igloo, installĂ©e avec une cinquantaine d'autres, place de la FraternitĂ©, au milieu de la citĂ© des 4 000 de La Courneuve Seine-Saint-Denis. En l'absence de sanitaires, elle s'est dĂ©brouillĂ©e avec l'eau stockĂ©e dans de grands bidons pour faire sa toilette, avant de partir comme chaque jour au travail, les cheveux bien tressĂ©s, les yeux soigneusement maquillĂ©s, et de jolies boucles accrochĂ©es Ă ses oreilles. A 9 heures, elle dĂ©butait sa journĂ©e de standardiste. A 9 h 20, une amie l'avertissait que la police Ă©tait en train de dĂ©truire le campement, de saisir sa tente, comme celles des quelque 80 personnes, originaires de CĂŽte d'Ivoire, qui vivaient lĂ , dans des conditions trĂšs prĂ©caires, depuis le 18 avril. Une Ă©vacuation ordonnĂ©e le 2 novembre par le tribunal administratif de Montreuil Seine-Saint-Denis, saisi par la mairie de La Courneuve. L'ultime Ă©pisode d'un bras de fer commencĂ© seize mois plus tĂŽt. Le 8 juillet 2010, des CRS envahissent aux aurores la barre Balzac, Ă cent mĂštres de la place de la FraternitĂ©. Ils tambourinent aux portes, font sortir hommes, femmes, enfants avec toutes leurs affaires. Ce ne sont pas des locataires mais des squatteurs, venus s'installer dans des appartements vides la vieille HLM est promise Ă la destruction dans le cadre du projet de rĂ©novation urbaine qui doit transformer le quartier. Tandis que les 274 familles qui l'habitaient lĂ©galement ont dĂ©mĂ©nagĂ©, d'autres se sont installĂ©es illĂ©galement dans une quarantaine d'appartements, souvent trompĂ©es par des marchands de sommeil. Au pied de la barre, contemplant mĂ©dusĂ©s matelas, chaises et tĂ©lĂ©visions jetĂ©s sur le trottoir, tous racontaient alors sensiblement la mĂȘme histoire. Venus de CĂŽte d'Ivoire, d'abord accueillis par des proches, ils avaient entendu dire qu'il y avait lĂ des "maisons" disponibles. Peu au fait des rĂ©alitĂ©s françaises, certains avaient cru devenir propriĂ©taires d'un 100 mÂČ en versant quelques milliers d'euros Ă des intermĂ©diaires malhonnĂȘtes. D'autres brandissaient des courriers de l'office HLM Ă leur nom prouvant, selon eux, qu'ils Ă©taient locataires. On pouvait y lire "avis d'Ă©chĂ©ance, indemnitĂ© d'occupation, provision consommation d'eau... Total quittance 623,59 euros". Mais une "indemnitĂ© d'occupation" n'est pas un loyer c'est une façon de faire payer les squatteurs. D'autres, enfin, se savaient dans l'illĂ©galitĂ©, mais disaient "n'avoir pas le choix" dans des pochettes, ils gardaient prĂ©cieusement leurs demandes de logement social inabouties. Et avec, leurs fiches de paie et leurs dĂ©clarations d'impĂŽt. Car qu'ils soient en situation rĂ©guliĂšre ou sans papiers, la plupart travaillent. Le soir de l'expulsion, plus de 200 personnes restent dormir sur le trottoir. Trois jours aprĂšs, les tentes multicolores ont poussĂ© comme des champignons et des banderoles "Un toit c'est un droit" dĂ©corent les rĂ©verbĂšres. Le dĂ©but d'un combat collectif soutenu par l'association Droit au logement. Mais le campement de fortune n'a pas le temps de s'organiser le 21 juillet 2010, les CRS sont de retour et empoignent sans mĂ©nagement les "campeurs". FilmĂ©es par des militants, les images de cette expulsion montrant des mĂšres de famille traĂźnĂ©es par les pieds alors qu'elles portent leurs bĂ©bĂ©s dans le dos, font le tour des mĂ©dias, jusque sur CNN. Le camp Ă©vacuĂ©, les ex-squatteurs acceptent un hĂ©bergement d'urgence dans des hĂŽtels. Vint la trĂȘve hivernale pendant laquelle on n'expulse pas. Les familles restent au chaud. La barre Balzac est murĂ©e. La prĂ©fecture trouve un logement pour seize mĂ©nages. On croit la situation en voie d'ĂȘtre rĂ©glĂ©e. Mais pour la moitiĂ© des expulsĂ©s, le printemps va ĂȘtre synonyme de retour Ă la case dĂ©part. Car le 18 avril 2011, la prĂ©fecture met fin aux hĂ©bergements provisoires. "Quand on s'est retrouvĂ© Ă la rue, raconte Bamory Coulibaly, on est tous revenus spontanĂ©ment Ă notre point de dĂ©part, la barre Balzac. On savait que c'est lĂ qu'on retrouverait les autres pour recommencer la lutte." Cet Ivoirien de 36 ans a quittĂ© son pays il y a deux ans parce qu'il s'y sentait menacĂ© en raison de ses convictions politiques. "J'habitais Gagnoa, le village de Laurent Gbagbo. Or, moi, je soutenais Ouattara. A chaque manifestation, la rĂ©pression Ă©tait plus forte. J'ai dĂ» partir", raconte-t-il. Couturier dans son pays, il est devenu agent de sĂ©curitĂ© en France. En CDI, il a Ă©tĂ© rĂ©gularisĂ©. Mais son salaire modeste ne lui permet pas de louer dans le privĂ©. Il n'a d'espoir que dans le parc HLM. Et dans ce combat collectif dĂ©butĂ© en 2010. Ce 18 avril, il a donc rachetĂ© une tente, et l'a posĂ©e sur le bĂ©ton de la place de la FraternitĂ©. Comme MassandjĂ© Kamara, qui malgrĂ© sa carte de sĂ©jour de dix ans, son CDI, et ses 1 400 euros mensuels, renouvelle sans succĂšs les demandes de logement depuis cinq ans. "Je travaille, je ne veux pas ĂȘtre Ă la charge de la France, je peux payer mon loyer !" D'autres "campeurs" sont dans des situations plus compliquĂ©es. Jeune maman, Meite, 30 ans, femme de mĂ©nage, reste sans papiers. Les jours passant, gamelles et rĂ©chauds Ă gaz ont trouvĂ© leur place entre les igloos. De nouvelles tentes sont apparues pour stocker les affaires. Des vĂ©los d'enfant, des patins Ă roulettes. Du linge sĂ©chant sur les arbustes. Un village prĂ©caire s'est organisĂ©, sans que, cette fois, personne ne l'empĂȘche. En mai, le maire prend un premier arrĂȘtĂ© d'expulsion. Non suivi d'effet. Mal ficelĂ©e, une deuxiĂšme action en justice lancĂ©e par la communautĂ© d'agglomĂ©ration n'a pas abouti. Les chaleurs de l'Ă©tĂ© sont arrivĂ©es et avec elles des effluves nausĂ©abonds, restes de nourriture mal nettoyĂ©s. CernĂ©s par les tentes, les personnels du centre de santĂ© et de la protection maternelle et infantile PMI, d'abord accueillants, ont fini par perdre patience. "Cela me fait mal au coeur de voir ces enfants Ă la rue. Il y a des bĂ©bĂ©s, certains sont presque nĂ©s ici. Mais je ne supporte plus de devoir me faufiler tous les matins entre les tentes et de constater un tel manque d'hygiĂšne", confiait une employĂ©e du centre de santĂ© Ă la rentrĂ©e. "Certains jours, ça me soulĂšve le coeur. Et je ne parle pas des rats ! Je ne comprends pas qu'on les laisse lĂ comme ça..." Personne n'a non plus semblĂ© chercher de solution, chacun des acteurs se renvoyant la balle. Rappelant que contrairement Ă d'autres communes d'Ile-de-France, elle respecte largement le quota de 20 % de logement social imposĂ© par la loi SRU, la mairie PC de La Courneuve n'a pas voulu ajouter ceux-lĂ Ă sa liste de 2 000 demandeurs de logement. Dans plusieurs courriers au prĂ©fet, le maire, Gilles Poux, en a appelĂ© "Ă la responsabilitĂ© de l'Etat". Mais la prĂ©fecture a Ă©galement avancĂ© qu'elle recevait "un nombre considĂ©rable de demandes de logement chaque jour. Il n'y a pas de raison qu'ils passent devant d'autres familles qui attendent depuis parfois six ou sept ans". Solidaires dans les premiers temps, les habitants du quartier ont fini par dĂ©sapprouver ce qu'ils considĂ©raient comme une façon de "forcer la file d'attente". "Pourquoi ne sont-ils pas allĂ©s squatter Ă Paris pour embĂȘter les riches ?, confiait une Courneuvienne, mĂšre de cinq enfants. Si c'est pour faire la misĂšre Ă des gens qui sont dĂ©jĂ dans la misĂšre, je ne suis pas d'accord !" "Cette situation montre surtout la grande pĂ©nurie de logement dans notre pays qui finit par opposer les populations entre elles", rĂ©sumait un employĂ© de la ville lors d'une manifestation devant la prĂ©fecture. LancĂ©e mi-octobre par la mairie, l'ultime procĂ©dure juridique a fini par aboutir. Lundi matin, 140 policiers et gendarmes envahissent la place. Ses occupants ont peu rĂ©sistĂ©. En file indienne, bien encadrĂ©s, ils sont montĂ©s dans des cars, laissant une nouvelle fois leurs affaires. Comme l'hiver dernier, un hĂ©bergement Ă l'hĂŽtel a Ă©tĂ© proposĂ© Ă ceux qui sont en situation rĂ©guliĂšre. Pour les autres "Un retour volontaire au pays", explique sur place un reprĂ©sentant de la prĂ©fecture. Son interlocuteur reste bouche bĂ©e "Mais je suis lĂ depuis trois ans, j'ai tout abandonnĂ© lĂ -bas, je ne peux pas repartir..." Seize mois aprĂšs, aucune solution pĂ©renne n'a donc Ă©tĂ© trouvĂ©e. Alors pour continuer la lutte, MassandjĂ© Kamara et quelques autres ont refusĂ© lundi soir l'hĂ©bergement Ă l'hĂŽtel. Quitte Ă dormir dehors. Blog Urbains sensibles . Aline Leclerc Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă la fois Ce message sâaffichera sur lâautre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce quâune autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă lire ici ? Ce message sâaffichera sur lâautre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il dâautres limites ? Non. 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Lessquatteurs installés depuis mi-avril sur la place de la Fraternité, au coeur de la cité des 4 000, ont été évacués. ma région Paris Ile-de-France . à la une; direct tv
Bitume . Depuis une semaine, 80 personnes, expulsĂ©es en juillet de la tour Balzac, puis des hĂŽtels oĂč ils Ă©taient relogĂ©s, campent en plein air. Par MATHIEU PALAIN, NOĂMIE ROUSSEAU LIBĂRATION 23/04/2011 Une femme jongle avec son tube de dentifrice, sa brosse et un gros bidon dâeau, pas simple pour se laver les dents. Bienvenue sur la place de la FraternitĂ©, rebaptisĂ©e camping 4000», le bivouac sauvage de La Courneuve. Vendredi midi sous un soleil de plomb, femmes, hommes et enfants se ruent sur le dĂ©jeuner trois morceaux de poulet noyĂ©s sous du riz froid, la bassine posĂ©e Ă mĂȘme le sol. On bouffe ce quâon veut bien nous donner», lĂąche Bakari. Lui sâattaque Ă un morceau de pain rassi adouci au Nutella. A cĂŽtĂ©, Nissina sauce un fond de boĂźte de sardines. Autour, la place est jonchĂ©e de matelas, paillasses et cabas. Humanité». Depuis une semaine, plus de 80 personnes vivent lĂ . En juillet 2010, ils faisaient tous partie des 186 squatters expulsĂ©s de la tour Balzac, promise Ă la destruction. Il y a neuf mois dĂ©jĂ , ils Ă©taient revenus camper au pied de leur immeuble, avant dâĂȘtre Ă©vacuĂ©s manu militari. La prĂ©fecture leur avait promis dâexaminer les dossiers avec bienveillance et humanité», se souvient Aboubakar TourĂ©, lâun des porte-parole. En attendant, lui et les autres sont placĂ©s dans des hĂŽtels du coin, une solution provisoire». Puis lundi 18 avril au matin, tout le monde a Ă©tĂ© priĂ© de dĂ©barrasser le plancher. La prĂ©fecture se dĂ©fend Pour les 33 familles reconnues Ă©ligibles au relogement, lâhĂ©bergement Ă lâhĂŽtel est maintenu.» Les 80 campeurs, eux, nâont pas fourni les justificatifs de ressources, de droit de sĂ©jour, de scolarisation». Autrement dit, les plus pauvres et les sans-papiers. Aboubakar conserve prĂ©cieusement tous les reçus Ă©ditĂ©s par lâoffice HLM. Car ses deux ans de squat» Ă la barre Balzac, il les a tout de mĂȘme payĂ©s 535 euros par mois, au titre dâindemnitĂ© dâoccupation». Son Ă©pouse, enceinte, reste allongĂ©e Ă lâombre. Comme elle, tous ou presque sont ivoiriens, beaucoup sans papiers. Le prĂ©fet sâest engagĂ© Ă ne pas ordonner dâexpulsions tant que la situation politique ne serait pas stabilisĂ©e lĂ -bas. Seules dix personnes ont Ă©tĂ© rĂ©gularisĂ©es en neuf mois. Je ne comprends pas la France qui dĂ©place des milliers de soldats en CĂŽte-dâIvoire pour sĂ©curiser des Ivoiriens et qui, ici, nous met dehors alors quâon travaille, on paie des impĂŽts !», sâinsurge Aboubakar TourĂ©. Surveillance. Pour ne pas se faire Ă©pingler pour insalubritĂ©, le balai est passĂ© aprĂšs chaque repas. Pas un papier ne traĂźne au sol. Câest une question de dĂ©cence», se justifie Camara. Impeccable dans son costume noir, il ne renie pas pour autant sa condition depuis cinq jours, Camara a rejoint la grande communautĂ© des SDF. Jâassume. Jâai pas de complexe lĂ dessus, je suis un homme sans toit.» Une voiture de police stationne Ă quelques mĂštres. Les enfants rampent sur le bitume. Assis sur les bancs, de jeunes hommes suivent du coin de lâĆil la ronde de lâagent. Ils viennent tous les jours, pour nous compter, et demander sâil y a des associations avec nous.» Et justement, il nây a pas grand monde. La Croix-Rouge Ă©tait lĂ en juillet, mais ils ne sont pas revenus». Ils rĂȘvent dâun point dâeau, de sanitaires, de nourriture. InterrogĂ©e par LibĂ©ration, lâantenne de Bobigny de lâassociation dit rĂ©flĂ©chir Ă un plan dâintervention». Quant aux Ă©lus et politiques, ça ne se bouscule pas non plus, sauf Dawari Horsfall , militant du mouvement Emergence qui dĂ©fend les habitants des quartiers. Câest lui qui a amenĂ© les couvertures, rĂ©cupĂ©rĂ©es auprĂšs dâEmmaĂŒs. Il y a quelques annĂ©es, la rĂ©action des politiques aurait Ă©tĂ© rapide. Aujourdâhui, mĂȘme les Ă©lus de gauche sont dans le calcul Ă©lectoral, ils ne savent plus quoi faire avec la montĂ©e du racisme», sâindigne Dawari Horsfall . Un homme du camp rentre tout juste dâun entretien avec la mairie communiste Ils ont dit quâon pouvait rester, ça les dĂ©range pasâŠÂ» Le soir oĂč ils sont arrivĂ©s place de la FraternitĂ©, un policier leur a dit dâappeler le samu social. Qui les a renvoyĂ©s vers les hĂŽtels dâoĂč ils venaient dâĂȘtre expulsĂ©s.
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Le 21/07/2011 à 1729 MAJ à 1929PARIS Reuters - Une immense grue a commencé à détruire la barre Balzac de La Courneuve, prÚs de Paris, devenue un symbole du malaise des banlieues,...PARIS Reuters - Une immense grue a commencé à détruire la barre Balzac de La Courneuve, prÚs de Paris, devenue un symbole du malaise des banlieues, a-t-on appris jeudi auprÚs de la ensemble de 285 logements, qui date de 1964, se trouve dans la cité des que Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Intérieur, voulait "nettoyer au KÀrcher" en destruction de la barre durera plus d'un mois."à la rentrée scolaire, les habitants du quartier découvriront un nouvel horizon. Au sens propre la barre aura disparu de la vue des riverains. Au sens figuré cette démolition préfigure la transformation complÚte du quartier", explique le maire communiste de La Courneuve Seine-Saint-Denis, Gilles Poux, dans un démolition a débuté mercredi avec une manifestation de squatters expulsés de la barre depuis juillet 2010 et installés depuis avril dernier sur la place de la Fraternité voisine et réclamant un Poux regrette que le tribunal de Bobigny, saisi d'une demande d'évacuation des squatters de la place de la Fraternité, ait décidé de renvoyer le traitement du dossier au 14 septembre."D'ici la mi-septembre donc, les ex-squatters vont continuer de camper dans des conditions indignes. L'Etat, lui, campera sur ses positions sans reloger ni régulariser les sans-papiers", maire assure que La Courneuve assume depuis longtemps et avec fierté "sa solidarité avec les plus modestes et les plus fragiles", 52% des logements de la ville étant sociaux."Aujourd'hui encore, dans les projets de l'aprÚs-Balzac, c'est une majorité de logements sociaux qui sera construite", Bon, édité par Patrick Vignal
67 Place Georges Braque 93120 La Courneuve. Temps de louange et de partage pour se prĂ©parer Ă vivre un NoĂ«l Joyeux et Heureux . Vendredi 17 dĂ©cembre 2021 de 19h Ă 20h30. Eglise Saint Lucien - 7 rue de la Convention 93120 La Courneuve. Au programme : Louange, intercessions, enseignement du PĂšre Alain sur la fraternitĂ© Pour venir : Tram 1 (ArrĂȘt HĂŽtel de
placede la Fraternité Ga brie P Gabriel Péri P ean-Moulin o Quatre-Routes / A natole-France P our voir sur place ce qui va et ne va pas, pour faire part de vos avis, préoccupations et propositions. PARTICI P EZ NOMBREUX à LA VISITE. Virginie Salot Conception graphique : service communication / Mahiedine Farid - Juillet 2013 / 13-645 13-645 visite de quartier/4
Informationsde Place de la Fraternité Route à Grand Est. Place de la Fraternité, 51350 Cormontreuil, France. Obtenir un itinéraire. Fuseau horaire: Europe/Brussels Latitude: 49° 12' 54.2513" N Longitude: 4° 03' 2.6392" E
lesSocialistes de La Courneuve ont dĂ©posĂ© une gerbe devant la plaque commĂ©morative, place de la FraternitĂ©, en hommage aux victimes du massacre du 17 octobre 1961. Le lycĂ©e professionnel Denis Papin sâagrandit. La RĂ©gion a financĂ© de grands travaux dâextension du lycĂ©e professionnel Denis Papin en intĂ©grant
Placede la Fraternité, à La Courneuve, 10 heures du matin. Les femmes se mettent à la cuisine sur des réchauds de camping, pendant que les hommes discutent, un peu plus loin.
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