Sanctuairede Lisieux – Basilique Sainte ThĂ©rĂšse. Actions de GrĂące / TĂ©moignages . Accueil Se recueillir Actions de GrĂące / TĂ©moignages. Je dĂ©pose mon tĂ©moignage. TĂ©moignages. Sanctuaire de Lisieux. 31 rue du Carmel - 14100 Lisieux TĂ©l. 02 31 48 55 00 . Nous contacter. Horaires & accĂšs. Newsletter. Restez informĂ© des derniĂšres actualitĂ©s du Sanctuaire du Accueil » Documents » Archives religieuses » Un tĂ©moignage sur les exhumations de Sainte Bernadette Soubirous le corps Ă©tait-il intact ou pas ?Dans son Ă©dition web du 22 novembre 2013, le Journal du Centre publie, dans la rubrique Mon Nevers secret », un article, dont voici un extrait Le corps de Sainte Bernadette "intact". 
Celui-ci est retrouvĂ© dans un Ă©tat de conservation extraordinaire. Ce qui suscite encore aujourd’hui de nombreuses interrogations. En 1925, la nivernaise SƓur Marie VĂ©ronique, Ă©tait prĂ©sente lors de l’exhumation du corps de Sainte Bernadette. Sa sƓur aĂźnĂ©e faisait partie du groupe de jeunes filles qui vivaient Ă  Saint Gildard Ă  Nevers. Petite, elle s’y rendait souvent pour les vacances. Elle assistera Ă  la sortie du tombeau de Sainte Bernadette. Au moment oĂč on l’a sorti de son tombeau, il y avait des Ă©vĂȘque, il y avait la police, il y avait des docteurs. Donc lĂ , nous Ă©tions sĂ©parĂ©s, nous Ă©tions en haut et nous avons assistĂ© Ă  tout ça. Et le soir, on nous a donnĂ© la permission de voir le corps de Sainte Bernadette 
 j’ai pu baisĂ© son pied. » Sainte-Bernadette est bĂ©atifiĂ©e le 14 juin 1925. Son corps est placĂ© par la suite dans une chĂąsse de verre et de bronze, dans la chapelle Saint-Gildard Ă  Nevers, visible encore aujourd’hui des visiteurs et des pĂšlerins. Une autre histoire Il existe une autre histoire de ces exhumations [1], un rĂ©cit que je tiens de ma famille, mais je n’ai pas Ă©tĂ© un tĂ©moin direct, puisque je suis nĂ© en 1945 Ma famille a vĂ©cu Ă  Nevers, rue de la Chaussade, dans une petite maison construite par mon arriĂšre-arriĂšre grand pĂšre vers 1860, et que ma famille occupait encore au moment des exhumations [2]. Tous Ă©taient de fervents catholiques, y compris, dans un premier temps mon grand pĂšre qui, aprĂšs avoir envisagĂ© le sĂ©minaire, deviendra socialiste et anticlĂ©ricaliste et terminera dĂ©putĂ© maire d’une grande ville de l’Est. Alors qu’il Ă©tait assignĂ© Ă  rĂ©sidence dans cette mĂȘme maison par les allemands, Il frĂ©quenta en secret Patrice Flynn, 110e Ă©vĂȘque de Nevers, de 1932 Ă  1963. FrĂ©quemment, mes parents prĂ©sents voyaient arriver un homme en costume civil et chapeau, qui s’enfermait longuement avec mon grand pĂšre dans la seconde piĂšce de cette petite maison. Que se disaient-ils ? Personne ne le sait, mais on entendait de grands et frĂ©quents Ă©clats de rire. Les tĂ©moins Ă©taient en grande partie de fervents catholiques. Voila pour relativiser le parti-pris qu’on pourrait me reprocher dans ce rĂ©cit. Mais revenons aux exhumations Il y avait dans le quartier de la rue de la Chaussade, qui s’appelait autrefois rue du carrefour, un brave homme qui faisait du terrassement au cimetiĂšre. Il me semble qu’on l’appelait le pĂšre Martin », mais ma mĂ©moire n’est pas fidĂšle sur ce point. C’est lui qui avait Ă©tĂ© l’homme de service lors de ces exhumations. Il le racontait Ă  qui voulait l’entendre, et tĂ©moignait bien volontiers, que la dĂ©pouille de Bernadette Soubirou Ă©tait en parfait Ă©tat de conservation lors de la premiĂšre exhumation. A Nevers, ce n’est pas une surprise, puisque c’était un problĂšme lors de certains transferts en fosse commune depuis le 19e siĂšcle [3]. Mais le bonhomme Ă©tait formel ce n’était pas le cas les autres fois. Aussi les sƓurs lui avaient intimĂ© l’ordre de se taire. Il aurait alors rĂ©pliquĂ© je dirais ce que j’ai vu, elle avait l’Ɠil pitou », ce qui signifierait putrĂ©fiĂ©, en patois. Et il le racontait, parait-il, Ă  qui voulait l’entendre. Cette version me fut racontĂ©e de nombreuses fois, sans jamais avoir Ă©tĂ© mise en cause par les plus catholiques des proches de ma famille [4]. Alors, intacte ou reconstruite, cette dĂ©pouille, en partie dĂ©pecĂ©e ? Il y aurait bien un moyen pour le savoir et lever les nombreuses interrogations » une expertise indĂ©pendante. Mais c’est une autre affaire
Depuis que j’ai Ă©crit cet article, une polĂ©mique entre Neversois et Lourdais est nĂ©e sur le retour du corps Ă  Lourdes. 200 000 visiteurs par an qui gĂ©nĂšrent 2, 5 M€, par les temps qui courent... des chiffres indiquĂ©s par le journal "La dĂ©pĂȘche" dans un article du 9 mars 2016. Ce qu’écrit Ă©galement le journaliste, et que j’ignorais, c’est qu’il y a Ă  Lourdes des reliques dont un fragment d’une CÔTE de Bernadette !... DrĂŽle de respect sur un corps intact ! LesuccĂšs de ThĂ©rĂšse de Lisieux est liĂ© Ă  une cohĂ©rence d’un message portĂ© par une image, cohĂ©rence qui s’est construite peu Ă  peu, au contact des nombreux tĂ©moignages, rĂ©cits de miracles, zĂ©lateurs, ainsi que des impĂ©ratifs de son procĂšs de canonisation (1910-1925). Une cohĂ©rence cimentĂ©e par le surnaturel, lui-mĂȘme activĂ© par la confiance, elle-mĂȘme renforcĂ©e
Rome, 18 mars 2015 Apic Le pape François a reconnu, le 18 mars 2015, le miracle attribuĂ© Ă  l’intercession des bienheureux Louis et ZĂ©lie Martin, les parents de Sainte ThĂ©rĂšse de Lisieux. Il a ainsi ouvert dĂ©finitivement la voie Ă  leur canonisation qui devrait avoir lieu Ă  Rome Ă  l’occasion du synode sur la famille en octobre prochain comme dĂ©jĂ  annoncĂ© il y a quelques semaines. Le miracle a eu lieu dans le diocĂšse de Valence en Espagne. Il concerne une petit fille Carmen Carmen est nĂ©e prĂ©maturĂ©ment, atteinte de multiples complications qui mettaient sa vie en danger. Une hĂ©morragie cĂ©rĂ©brale trĂšs grave aurait pu entraĂźner des dommages irrĂ©versibles. Sur les conseils d’un carmel proche de Valencia, ses parents ont priĂ© avec foi Louis et ZĂ©lie Martin, qu’ils ne connaissaient pas. Carmen a aujourd’hui franchi le cap de ses quatre ans. Elle Ă©tonne par sa vitalitĂ© et l’absence totale de sĂ©quelles. Depuis trois ans, une Ă©quipe a procĂšdĂ© Ă  des investigations, rĂ©coltĂ© les dossiers mĂ©dicaux et interrogĂ© les tĂ©moins. famille, mĂ©decins, etc. AprĂšs la phase diocĂ©saine le miracle a Ă©tĂ© examinĂ© par la CongrĂ©gation pour les causes des saints Ă  Rome par des mĂ©decins experts, des thĂ©ologiens et des cardinaux, avant d’ĂȘtre prĂ©sentĂ© au pape. Un couple modĂšle de vie chrĂ©tienne Louis Martin est nĂ© Ă  Bordeaux le 22 aoĂ»t 1823. Membre d’une fratrie de cinq enfants, il grandit au sein de diffĂ©rentes garnisons avant que sa famille ne s’installe dĂ©finitivement Ă  Alençon. Louis Martin souhaitait consacrer sa vie Ă  Dieu au monastĂšre du Grand St Bernard, mais son niveau insuffisant de latin l’oblige Ă  abandonner ce projet. Il ouvre en 1850 une horlogerie-bijouterie. GrĂące Ă  l’intermĂ©diaire de sa mĂšre, il rencontre ZĂ©lie GuĂ©rin qu’il Ă©pouse en juillet 1858 Ă  la veille de ses 35 ans. ZĂ©lie GuĂ©rin est nĂ©e le 23 dĂ©cembre 1831 Ă  Saint Denis–Sarthon dans l’Orne oĂč son pĂšre Ă©tait gendarme. Sa sƓur ainĂ©e devient religieuse. Elle se sent elle aussi appelĂ©e Ă  la vie religieuse et souhaite entrer Ă  l’HĂŽtel-Dieu d’Alençon oĂč sa famille s’est installĂ©e en 1844, mais la mĂšre supĂ©rieure le lui refuse. ZĂ©lie ouvre une fabrique de dentelle en 1853. Elle est la tĂȘte d’une entreprise prospĂšre lorsqu’elle rencontre Louis Martin. Louis et ZĂ©lie, un don» pour les parents, les Ă©poux, les veufs et les malades De 1860 Ă  1873, neuf enfants, dont quatre mourront en bas Ăąge, naĂźtront au foyer des Martin. La derniĂšre sera Sainte ThĂ©rĂšse de l’Enfant JĂ©sus. Une foi profonde anime la famille. Une grande affection lie les deux Ă©poux comme en tĂ©moigne les lettres de ZĂ©lie Ă  son mari. A la mort de ZĂ©lie Martin le 28 aoĂ»t 1877 des suites d’une longue maladie, ThĂ©rĂšse n’a alors que 4 ans, Louis s’installe dans la ville de sa belle-famille Ă  Lisieux. Dix ans plus tard, aprĂšs l’entrĂ©e de ThĂ©rĂšse au carmel, Louis sera internĂ© au Bon Sauveur de Caen. Lui-mĂȘme malade, il s’occupera dĂšs qu’il le peut des autres patients qui l’entourent. Il meurt le 29 juillet 1894, Ă  71 ans.apic/rv/ag/mp © Centre catholique des mĂ©dias Cath-Info, Les droits de l’ensemble des contenus de ce site sont dĂ©posĂ©s Ă  Cath-Info. Toute diffusion de texte, de son ou d’image sur quelque support que ce soit est payante. L’enregistrement dans d’autres bases de donnĂ©es est interdit.
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PubliĂ© le 14/06/2011 Ă  1118, Mis Ă  jour le 14/06/2011 Ă  1140 Eva Hernandez, belle d'Ăąme comme de visage. Ph DR La petite ThĂ©rĂšse, française si orgueilleuse dans sa vocation et si humble dans son expression, a marquĂ© la vie monastique. Pourquoi elle, plutĂŽt que beaucoup d'autres comme elle ? À cause de son auto... La petite ThĂ©rĂšse, française si orgueilleuse dans sa vocation et si humble dans son expression, a marquĂ© la vie monastique. Pourquoi elle, plutĂŽt que beaucoup d'autres comme elle ? À cause de son autobiographie sans doute qui s'est vendue Ă  500 millions d'exemplaires mais aussi par son extrĂȘme jeunesse qui a marquĂ© les esprits. On pourra reprocher au texte de Michel Pascal de ne pas assez montrer les difficultĂ©s du vivre ensemble » dans un couvent, difficultĂ©s qui ont sans doute tuĂ© ThĂ©rĂšse ; peut-ĂȘtre aussi, plus théùtralement, de ne pas nous entraĂźner, par l'Ă©motion, dans une vĂ©ritable progression dramatique. Le spectacle est nĂ©anmoins trĂšs fort. Eva Hernandez, belle d'Ăąme comme de visage, est impressionnante de simplicitĂ©. Comment rendre la spiritualitĂ© au théùtre ? C'est la leçon du thĂ©ologien-philosophe Henri Gouhier il faut montrer non la croyance mais celui qui croit. On est seulement lĂ  dans l'incarnation de la foi. C'est ce qui est rĂ©ussi ThĂ©rĂšse de Lisieux, histoire d'une Ăąme, Mathurins, 36, rue des Mathurins VIIIe TĂ©l. 01 42 65 90 00. Horaires Du mar. au sam. Ă  19 h, dim. Ă  15h. Places 25 €. DurĂ©e 1 h 05 jusqu'au 3 juillet.» RĂ©servez maintenant vos places pour Sainte ThĂ©rĂšse de Lisieux, histoire d'une Ăąme » Ă  partir de 17 € avec Ticketac
10histoires vraies basĂ©es sur les tĂ©moignages, enquĂȘtes, expertises mĂ©dicales Pour la premiĂšre fois, un livre fait revivre les miracles
PÈLERINAGES A LISIEUX POUR Y PRIER SAINTE THÉRÈSE DE L’ENFANT JÉSUS ET DE LA SAINTE FACE LA PETITE VOIE - SAUVER LES ÂMES JE VEUX PASSER MON CIEL A FAIRE DU BIEN SUR LA TERRE » Le pĂšlerinage de Lisieux permet d’aller se recueillir et prier sur les grands lieux thĂ©rĂ©siens le Carmel de Lisieux, la Basilique, la maison familiale de Sainte ThĂ©rĂšse les Buissonnets », ainsi que la trĂšs belle cathĂ©drale Saint-Pierre, oĂč ThĂ©rĂšse reçut des grĂąces et perçut le sens de sa vocation. Il permet de dĂ©couvrir ou d’approfondir le Message de Sainte ThĂ©rĂšse et sa vocation universelle sauver les Ăąmes et encourager les actions missionnaires partout dans le monde. Par son esprit d’enfance pour aller au Christ et Ă  Dieu le PĂšre, par sa simplicitĂ©, sa modestie et son esprit d’humilitĂ©, exprimĂ©s dans les plus petits actes de la vie quotidienne de sa courte vie terrestre 24 ans, Sainte ThĂ©rĂšse de l’Enfant JĂ©sus et de la Sainte Face a dĂ©gagĂ© une petite Voie » d’amour et d’abandon confiant Ă  Dieu. Cette petite Voie l’a conduite Ă  rencontrer la Sainte Vierge Marie, JĂ©sus-Christ et l’Amour divin. L’Église catholique a su le reconnaĂźtre, en faisant Docteur de l’Église cette Sainte grandie par son esprit d’humilitĂ© et d’enfance. Elle a su le reconnaĂźtre en faisant de Sainte ThĂ©rĂšse la Patronne des Missions, elle qui n’a pourtant- hormis un voyage Ă  Rome pour solliciter du Pape une entrĂ©e prĂ©coce au Carmel- jamais quittĂ© la clĂŽture du Carmel de Lisieux. Depuis 1944, Sainte ThĂ©rĂšse, qui avait une dĂ©votion particuliĂšre pour Sainte jeanne d’Arc, est Patronne secondaire de la France. Le pĂšlerinage Ă  Lisieux permet en outre de prier Louis et ZĂ©lie Martin, les parents de Sainte ThĂ©rĂšse, bĂ©atifiĂ©s en 2008, modĂšles de la famille chrĂ©tienne, de pĂšre et mĂšre ayant menĂ© une vie toute orientĂ©e vers Dieu. Source HĂ©bergements Ermitage Sainte-ThĂ©rĂšse 23 rue du Carmel 14100 LISIEUX TĂ©l. 02 31 48 55 10 Fax 02 31 48 55 27 Courriel Foyer Louis et ZĂ©lie Martin 15 avenue Sainte ThĂ©rĂšse 14100 Lisieux TĂ©l 02 31 62 09 33 Fax 02 31 62 88 65 Courriel La Famille Missionnaire, fondĂ©e par l’AbbĂ© Roussel, est prĂ©sente Ă  Lisieux depuis 1995 pour tenir le Foyer Louis et ZĂ©lie Martin, centre d’accueil spirituel, hĂ©bergement et restauration, au service des pĂšlerins. Les Travailleuses Missionnaires de l’ImmaculĂ©e participent Ă©galement Ă  la vie liturgique du PĂšlerinage Sainte ThĂ©rĂšse par le chant animations de messes ou en organisant veillĂ©es et tĂ©moignages Ă  la demande des groupes qui viennent Ă  Lisieux. Sites Ă  consulter ThĂ©rĂšse de Lisieux Carmel de Lisieux Patrimoine vivant de la France Articles publiĂ©s dans cette rubrique
ThérÚsede l'Enfant-Jésus, carmélite de Lisieux (1873-1897), est la sainte catholique la plus populaire du XXe siÚcle. Sa notoriété fulgurante, fondée sur le succÚs d'un livre posthume, Histoire d'une ùme (1898), sans cesse réédité depuis, doit aussi beaucoup à une réputation de sainte à miracle

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DĂ©couvrezl’extraordinaire vie de saint Padre Pio et de saint Charbel ainsi que les miracles de sainte ThĂ©rĂšse de Lisieux, et ceux du saint curĂ© d’Ars. PriĂšres Ă  saint Antoine Depuis des siĂšcles, les chrĂ©tiens sont nombreux Ă  venir se recueillir sur la tombe de saint Antoine Ă  Padoue pour y demander des grĂąces et obtenir des guĂ©risons miraculeuses.
Bien que soumise aux rigoureuses rĂšgles du Carmel qui limitaient fortement la correspondance des religieuses, sainte ThĂ©rĂšse de l'Enfant-JĂ©sus a correspondu avec quelques interlocuteurs, dont sa famille et ses deux frĂšres spirituels. L'abbĂ© Maurice BelliĂšre 1874-1907 est l'un d'eux. EntrĂ© en 1894 au sĂ©minaire de Sommervieu Calvados, le jeune homme s'inquiĂšte de ses fautes passĂ©es. En 1896, il demande une sƓur spirituelle au carmel de Lisieux. La supĂ©rieure du couvent, MĂšre AgnĂšs, dĂ©signe la petite ThĂ©rĂšse, avec qui la correspondance dĂ©bute dĂšs le mois d'octobre 1896, et se poursuivra jusqu'Ă  la mort de la religieuse. Rapidement, le sĂ©minariste place une immense confiance en ThĂ©rĂšse. Sans doute JĂ©sus est le TrĂ©sor, mais je le trouvais en vous, et Il devenait plus abordable – c'est encore par vous que dĂ©sormais il viendra jusqu'Ă  moi, n'est-ce pas ? C'est vous dire que du Ciel comme d'ici, j'attends tout de vous – et ma confiance sera assez puissante pour attendre au besoin une action directe et manifeste de cette Ăąme amie que JĂ©sus fit sƓur de la mienne, dans une union la plus Ă©troite », lui Ă©crit-il le 5 aoĂ»t 1897. Sainte ThĂ©rĂšse Ă©crira Ă  ses deux petits frĂšres » spirituels, Maurice BelliĂšre et Adolphe Roullaud, de la sociĂ©tĂ© des missions Ă©trangĂšres de Paris, jusqu'au jour de sa mort. Jusqu'au bout, elle les assure de l'une de ses convictions profondes il faut prier pour les prĂȘtres. Sur la terre comme au Ciel.
Uneamie de Sainte ThérÚse: Edith Piaf. Edith Piaf un des plus grands artistes internationaux du 20eme siecle naquit en 1915. Peu de gens savent qu'a l'age de sept ans, victime d'une keratite aigue, Edith perdit la vue. Aucun remede n'ayant reussi a ameliorer son etat, Edith Piaf se resigna a rester aveugle jusqu'au jour ou les pensionnaires
Sainte ThérÚse de Lisieux a un rayonnement surnaturel étonnant. Le pape Pie X ne s'était pas trompé, lui qui l'avait qualifiée de "plus grande sainte des temps modernes". On découvre aussi que nombre de mystiques contemporains ont vécu, au-delà d'une proximité spirituelle, la manifestation personnelle de la sainte dans leur vie. Et il y a ainsi, jusqu'à une époque récente, une multitude d'exemples de ces interventions extraordinaires partout dans le monde. A travers le portrait et les récits d'une vingtaine d'entre eux, c'est l'aspect totalement méconnu des interventions de sainte ThérÚse de l'Enfant-Jésus que ce livre veut faire découvrir au public, en nous faisant goûter à la beauté de la communion des saints. Joachim Bouflet, docteur Ús-lettres, est historien et spécialiste des mentalités religieuses. Consultant auprÚs de postulateurs de causes de canonisation, il est également auteurs d'ouvrages sur des grandes figures spirituelles.
Lesécrits de sainte ThérÚse; Pour connaßtre ThérÚse; Pour approfondir ThérÚse; ThérÚse pour les enfants; Louis et Zélie Martin; Léonie Martin; Marie; Saints du Carmel; Vie et écrits de saints; François. Benoßt XVI et autres
Sainte ThĂ©rĂšse de Lisieux est une jeune femme morte Ă  l’ñge de 24 ans de tuberculose qui nous a laissĂ© de puissants tĂ©moignages de ses expĂ©riences mystiques. CanonisĂ©e en 1925, elle est proclamĂ©e sainte patronne secondaire de la France. Sa courte vie est marquĂ©e par son courage, sa persĂ©vĂ©rance et sa grande croyance en Dieu qu’elle nous dĂ©livre Ă  travers ses Ă©crits. Courte biographie de ThĂ©rĂšse de Lisieux Sainte ThĂ©rĂšse de Lisieux ou sainte ThĂ©rĂšse de l’Enfant JĂ©sus est nĂ©e le 2 janvier 1873 Ă  Alençon et morte le 30 septembre 1897 Ă  Lisieux. C’était l’enfant de Louis Martin 1823-1894, horloger et de ZĂ©lie-Marie GuĂ©rin 1831-1877, dentelliĂšre. Tous deux font partie de la bourgeoisie aisĂ©e d’Alençon et sont trĂšs croyants. Son pĂšre voulait devenir chanoine dans la congrĂ©gation des chanoines rĂ©guliers du Grand-Saint-Bernard, mais le fait qu’il ne parlait pas latin l’en avait empĂȘchĂ©. Quant Ă  sa mĂšre, elle rĂȘvait d’entrer au couvent, mais sa famille l’en avait dissuadĂ©e. Aussi, elle s’était promis de donner tous ses enfants Ă  l’Église. C’est ainsi qu’elle poussa ThĂ©rĂšse Ă  rejoindre l’ordre des CarmĂ©lites. Louis et ZĂ©lie-Marie s’étaient consacrĂ©s Ă  Dieu durant toute leur vie. Ensemble, ils eurent neuf enfants, mais seulement cinq que des filles ! Ă©taient parvenues Ă  l’ñge adulte. ThĂ©rĂšse est la plus jeune de la fratrie. Ses quatre sƓurs deviennent toutes religieuses, comme elle. ThĂ©rĂšse n’a que quatre ans lorsqu’elle perd sa mĂšre emportĂ©e par un cancer du sein. La famille s’installe alors Ă  Lisieux pour se rapprocher d’Isidore GuĂ©rin, le frĂšre de ZĂ©lie, pharmacien Ă  Lisieux. ThĂ©rĂšse fera son Ă©ducation chez les sƓurs bĂ©nĂ©dictines de Lisieux. Vers l’ñge de 10 ans, elle tombe gravement malade et passe trĂšs prĂšs de la mort. Selon elle, c’est l’apparition de la Vierge-Marie qui la sauva. C’est sa premiĂšre expĂ©rience mystique. DĂšs l’ñge de 15 ans, elle devient carmĂ©lite. Six ans plus tard, elle est atteinte de tuberculose. Durant cette Ă©poque, elle souffre aussi de dĂ©rĂ©liction Ă©preuve de la vie mystique dans laquelle le fidĂšle a le sentiment d’avoir perdu la grĂące, d’ĂȘtre dĂ©daignĂ© pour l’éternitĂ©. Elle se jette alors Ă  corps perdu dans l’amour pour le Christ. Elle meurt de tuberculose Ă  l’ñge de 24 ans le 30 septembre 1897, laissant une autobiographie L’Histoire d’une Ăąme » dans laquelle elle explique ce qu’est la petite voie », ce chemin pour aller vers Dieu, ce chemin fait d’humilitĂ© et d’absolue confiance dans Sa MisĂ©ricorde, ce chemin que tout monde peut parcourir. Il suffit d’y croire. ThĂ©rĂšse Lisieux meurt en parfaite inconnue. Ses obsĂšques sont cĂ©lĂ©brĂ©es en prĂ©sence d’une petite trentaine de personnes. Et pourtant, trĂšs vite, sa tombe devient un lieu de pĂšlerinage. Pourquoi ? Les expĂ©riences mystiques de Sainte-ThĂ©rĂšse de Lisieux Nous savons que ThĂ©rĂšse a perdu sa mĂšre Ă  l’ñge de 4 ans. Elle a Ă©tĂ© Ă©branlĂ©e par cette douloureuse perte et a choisi sa sƓur aĂźnĂ©e, Pauline, pour sa seconde maman ». Or, en 1882, Pauline l’abandonne pour entrer au Carmel de Lisieux. ThĂ©rĂšse est Ă©branlĂ©e psychologiquement et tombe gravement malade. Toute sa famille prie pour sa guĂ©rison. Le 13 mai 1883, la Vierge-Marie lui apparaĂźt et la guĂ©rit. C’est un miracle. DĂšs lors, ThĂ©rĂšse souhaite entrer, comme sa sƓur Pauline et sa sƓur Marie, au Carmel et son pĂšre accepte qu’elle les rejoigne dĂšs l’ñge de 15 ans. Avant cela, il faut obtenir la permission du Pape LĂ©on XIII. C’est ainsi qu’en 1887, avec son pĂšre, elle part en pĂšlerinage en Italie afin de voir le pape. C’est durant ce pĂšlerinage que ThĂ©rĂšse approfondit sa foi. Elle rĂ©alise qu’elle a Ă©tĂ© mise sur terre pour rĂ©aliser la volontĂ© de Dieu. Sa vocation se fortifie et elle voit le mal autour d’elle et la vanitĂ© du monde. LĂ©on XIII accĂšde Ă  sa demande et le 9 avril 1888, ThĂ©rĂšse entre au Carmel. L’annĂ©e suivante, elle porte l’habit de carmĂ©lite et prend le nom de sƓur ThĂ©rĂšse de l’Enfant-JĂ©sus et de la Sainte Face. En 1894, Ă  la demande de MĂšre AgnĂšs, qui n’est autre que sa sƓur Pauline, sa deuxiĂšme maman, elle commence la rĂ©daction de ses souvenirs d’enfance. Cet ouvrage, Histoire d’une Ăąme » s’achĂšvera en 1897 et sera publiĂ© en 1898. C’est dans cet ouvrage que l’on dĂ©couvre la foi profonde qui anime la jeune femme, sa confiance totale en Dieu et son message qu’elle dĂ©sire transmettre, celui de la voie d’enfance spirituelle », cette voie qui reprĂ©sente le chemin spirituel Ă  adopter afin d’accepter sa condition d’humain et de s’offrir Ă  Dieu malgrĂ© les Ă©preuves. Tout au long de sa vie, ThĂ©rĂšse vit une relation de plus en plus intime avec Dieu. C’est d’ailleurs cet abandon, cette foi, ce dĂ©sir de transmettre sa foi qui lui vaudront d’ĂȘtre bĂ©atifiĂ©e puis canonisĂ©e. En avril 1896, ThĂ©rĂšse a une crise d’hĂ©moptysie et elle meurt de la tuberculose le 30 septembre 1897 en nous laissant son tĂ©moignage dans son manuscrit dans lequel elle exprime la façon dont elle comprend la vie chrĂ©tienne et la relation de Dieu. Ce livre rencontrera un important succĂšs en France et dans le monde entier. Dans Histoire d’une Ăąme », ThĂ©rĂšse a laissĂ© parler son cƓur et nous raconte l’ardeur de sa foi. On est surpris de constater que, malgrĂ© son jeune Ăąge, elle avait une Ă©tonnante connaissance des Écritures et de la thĂ©ologie. Ce livre, paru un an aprĂšs sa mort, a Ă©tĂ© traduit en plus de 60 langues. Et c’est grĂące Ă  lui que le monde entier a pu dĂ©couvrir le mystĂšre de la vie intĂ©rieure de ThĂ©rĂšse avec Dieu. La jeune fille nous dit comment rĂ©aliser et atteindre la saintetĂ© dans la vie quotidienne, non pas par des actes extraordinaires, mais par la monotonie des petits sacrifices offerts Ă  Dieu par amour. DĂšs la parution du manuscrit, son tombeau attira les fidĂšles et trĂšs vite des Ă©vĂšnements miraculeux ne tardĂšrent pas Ă  ĂȘtre attribuĂ©s Ă  son intercession. C’est ainsi qu’il fut ouvert une enquĂȘte en vue de sa bĂ©atification et de sa canonisation. Toutefois, ces histoires ont tendance Ă  attirer les fidĂšles dans la supersition et Ă  croire naĂŻvement qu’il faut toucher le tombeau, par exemple, pour ĂȘtre guĂ©ri, ou allumer une bougie en l’honneur de la sainte. Il faut arrĂȘter avec toutes ces supersitions. Certes la priĂšre aux intercesseurs est une aide prĂ©cieuse, un soutien prĂ©cieux, mais elle il ne faut pas tomber dans l’idolĂątrie, et il ne faut surtout pas croire que le saint ou la sainte guĂ©rit. Tout ce fait par l’intermĂ©diaire de Dieu, et seule la foi guĂ©rit, seule la foi sauve. Padre Pio avait un pouvoir de guĂ©rison, justement parce qu’il opĂ©rait avec foi. Il nous a montrĂ© l’exemple, et nous, nous l’avons idolĂątrer
 Comprenne qui pourra, comprenne qui voudra. BĂ©atification et canonisation L’introduction de la cause de bĂ©atification de ThĂ©rĂšse de Lisieux surprend tout le monde. Pourtant, elle sera bĂ©atifiĂ©e le 10 juin 1914 et canonisĂ©e le 17 mai 1925 par Pie XI qui l’appelait d’ailleurs l’étoile de son pontificat. DĂšs lors, sa tombe accueille tellement de pĂšlerins, que l’on Ă©difia l’immense basilique Sainte-ThĂ©rĂšse de Lisieux en 1929. Puis, ThĂ©rĂšse est proclamĂ©e sainte patronne secondaire de la France en 1944 par Pie XII et, le 19 octobre 1997, docteur de l’Église par Jean-Paul II. Le pape explique ce choix dans un discours que je vous livre Dans les Ă©crits de ThĂ©rĂšse de Lisieux, sans doute ne trouvons-nous pas, comme chez d’autres docteurs, une prĂ©sentation scientifiquement organisĂ©e des choses de Dieu, mais nous pouvons y dĂ©couvrir un tĂ©moignage Ă©clairĂ© de la foi qui, en accueillant d’un amour confiant la condescendance misĂ©ricordieuse de Dieu et le salut dans le Christ, rĂ©vĂšle le mystĂšre et la saintetĂ© de l’Église. » Par lĂ , on sait que ThĂ©rĂšse de Lisieux avait une foi inĂ©branlable en Dieu et que mĂȘme dans la maladie, elle a continuĂ© Ă  le prier et Ă  lui vouer un amour sans concessions. En 1923, Daniel Brottier, qui vient d’ĂȘtre nommĂ© Directeur de l’Ɠuvre des Orphelins Apprentis d’Auteuil, dĂ©cide la construction d’une chapelle dĂ©diĂ©e Ă  la Bienheureuse ThĂ©rĂšse de l’Enfant JĂ©sus », car il est convaincu que cette derniĂšre l’a protĂ©gĂ© pendant la Grande Guerre et qu’elle a gardĂ© les enfants d’Auteuil. Cette conviction sera renforcĂ©e lorsque Daniel Brottier apprendra que ThĂ©rĂšse priait pour les enfants d’Auteuil avant sa mort. Elle deviendra donc la petite maman des enfants d’Auteuil ». La chapelle sera Ă©rigĂ©e en un temps record et la premiĂšre messe sera donnĂ©e dĂšs 1935. Cette chapelle est le premier sanctuaire en France dĂ©diĂ© Ă  sainte ThĂ©rĂšse. Aujourd’hui, elle abrite des reliques de la religieuse et est ouverte au public toute l’annĂ©e. Dans le mĂȘme temps, le collĂšge Saint-François-de-Sales d’Alençon entreprend la construction d’une chapelle en l’honneur de sainte ThĂ©rĂšse de l’Enfant-JĂ©sus. Aujourd’hui, cette chapelle se trouve toujours au sein de l’ensemble scolaire Saint-François-de-Sales Ă  Alençon. Antoine Herzog, fondateur des usines Herzog, entreprend la construction d’une chapelle privĂ©e qui fut dĂ©diĂ©e, en 1925, Ă  sainte ThĂ©rĂšse de Lisieux. Cette chapelle, situĂ©e Ă  Logelbach dans le Haut-Rhin, abrite une relique de la sainte et est une rĂ©plique de la Sainte-Chapelle de Paris. Aujourd’hui, la chapelle est ouverte au public. D’autres chapelles et Ă©glises furent Ă©rigĂ©es partout en France, notamment Ă  Toulon, Ă  Metz. PriĂšre Ă  sainte ThĂ©rĂšse de l’Enfant JĂ©sus Cette priĂšre Ă  sainte ThĂ©rĂšse de l’Enfant JĂ©sus est trĂšs puissante pour les demandes temporelles et spirituelles. Ceux Ă  qui nous l’avons recommandĂ©e ont Ă©galement Ă©tĂ© stupĂ©faits par son efficacitĂ©. Je vous encourage Ă  la rĂ©citer tous les jours. Attention toutefois, ne tombez pas dans l’idolĂątrie. Sainte ThĂ©rĂšse doit ĂȘtre pour vous une aide, mais en aucun cas elle doit remplacer Dieu dans votre coeur. Et surtout, il ne faut pas croire superstitueusement qu’elle pour vous guĂ©rir. Seule la foi guĂ©rit. Seule la foi sauve. Ô glorieuse Ste. ThĂ©rĂšse, Ă©levĂ©e par Dieu Tout-Puissant pour aider et conseiller l’humanitĂ©, j’implore votre miraculeuse intercession. Vous ĂȘtes Ă  tel point si puissante pour obtenir auprĂšs de Dieu les faveurs et les grĂąces, que la sainte MĂšre l’Église vous a nommĂ© “la plus grande Sainte des temps modernes.” Avec ferveur, je vous supplie de rĂ©pondre Ă  ma demande. 
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 En plus de rĂ©aliser vos promesses de vous trouver en Paradis pour faire du bien sur terre, et de faire tomber depuis le Ciel une pluie de roses. DĂšs lors, chĂšre petite fleur, je ferai en sorte que votre appel soit partout connu, et je ne cesserai pas de conduire les gens vers JĂ©sus Ă  travers vous. Ainsi soit-il. » Sainte ThĂ©rĂšse de Lisieux Ă©tait une jeune fille inconnue jusqu’à la publication de son livre aprĂšs sa mort. DĂšs lors, on la reconnaĂźt comme sainte et on la prie pour nous protĂ©ger et pour des demandes diverses. N’hĂ©sitez pas Ă  la prier, car sainte ThĂ©rĂšse de Lisieux est trĂšs Ă  l’écoute et vous aidera certainement Ă  trouver le chemin de la foi, de l’humanitĂ©, de l’amour, de la bonté  Le combat est spirituel. Courage, bienveillance, persĂ©vĂ©rance. Marie d’Ange Pour aller plus loin ThĂ©rĂšsede Lisieux nous intĂ©resse Ă  plus d’un titre, en effet si elle a Ă©tĂ© canonisĂ©e, si elle est devenue patronne des missions, si elle a Ă©tĂ© proclamĂ©e docteur de l’Église Ă  la suite du jubilĂ© de l’an 2000, si elle parcourt le monde en ses reliques, ThĂ©rĂšse a d’abord eu une vie ordinaire, une vie qui nous rejoint tous par bien des points. Avant d’ĂȘtre ThĂ©rĂšse de l Sainte ThĂ©rĂšse de Lisieux est une jeune femme morte Ă  l’ñge de 24 ans de tuberculose qui nous a laissĂ© de puissants tĂ©moignages de ses expĂ©riences mystiques. CanonisĂ©e en 1925, elle est proclamĂ©e sainte patronne secondaire de la France. Sa courte vie est marquĂ©e par son courage, sa persĂ©vĂ©rance et sa grande croyance en Dieu qu’elle nous dĂ©livre Ă  travers ses Ă©crits. Courte biographie de ThĂ©rĂšse de Lisieux ThĂ©rĂšse de Lisieux Ă  l’ñge de 13 ans. Sainte ThĂ©rĂšse de Lisieux ou sainte ThĂ©rĂšse de l’Enfant JĂ©sus est nĂ©e le 2 janvier 1873 Ă  Alençon et morte le 30 septembre 1897 Ă  Lisieux. C’était l’enfant de Louis Martin 1823-1894, horloger et de ZĂ©lie-Marie GuĂ©rin 1831-1877, dentelliĂšre. Tous deux font partie de la bourgeoisie aisĂ©e d’Alençon et sont trĂšs croyants. Son pĂšre voulait devenir chanoine dans la congrĂ©gation des chanoines rĂ©guliers du Grand-Saint-Bernard, mais le fait qu’il ne parlait pas latin l’en avait empĂȘchĂ©. Quant Ă  sa mĂšre, elle rĂȘvait d’entrer au couvent, mais sa famille l’en avait dissuadĂ©e. Aussi, elle s’était promis de donner tous ses enfants Ă  l’Église. C’est ainsi qu’elle poussa ThĂ©rĂšse Ă  rejoindre l’ordre des CarmĂ©lites. Louis et ZĂ©lie-Marie s’étaient consacrĂ©s Ă  Dieu durant toute leur vie. Ensemble, ils eurent neuf enfants, mais seulement cinq que des filles ! Ă©taient parvenues Ă  l’ñge adulte. ThĂ©rĂšse est la plus jeune de la fratrie. Ses quatre sƓurs deviennent toutes religieuses, comme elle. ThĂ©rĂšse n’a que quatre ans lorsqu’elle perd sa mĂšre emportĂ©e par un cancer du sein. La famille s’installe alors Ă Lisieux pour se rapprocher d’Isidore GuĂ©rin, le frĂšre de ZĂ©lie, pharmacien Ă  Lisieux. ThĂ©rĂšse fera son Ă©ducation chez les sƓurs bĂ©nĂ©dictines de Lisieux. Vers l’ñge de 10 ans, elle tombe gravement malade et passe trĂšs prĂšs de la mort. Selon elle, c’est l’apparition de la Vierge-Marie qui la sauva. C’est sa premiĂšre expĂ©rience mystique. DĂšs l’ñge de 15 ans, elle devient carmĂ©lite. Six ans plus tard, elle est atteinte de tuberculose. Durant cette Ă©poque, elle souffre aussi de dĂ©rĂ©liction Ă©preuve de la vie mystique dans laquelle le fidĂšle a le sentiment d’avoir perdu la grĂące, d’ĂȘtre dĂ©daignĂ© pour l’éternitĂ©. Elle se jette alors Ă  corps perdu dans l’amour pour le Christ. Elle meurt de tuberculose Ă  l’ñge de 24 ans le 30 septembre 1897, laissant une autobiographie L’Histoire d’une Ăąme » dans laquelle elle explique ce qu’est la petite voie », ce chemin pour aller vers Dieu, ce chemin fait d’humilitĂ© et d’absolue confiance dans Sa MisĂ©ricorde, ce chemin que tout monde peut parcourir. Il suffit d’y croire. ThĂ©rĂšse Lisieux meurt en parfaite inconnue. Ses obsĂšques sont cĂ©lĂ©brĂ©es en prĂ©sence d’une petite trentaine de personnes. Et pourtant, trĂšs vite, sa tombe devient un lieu de pĂšlerinage. Pourquoi ? Les expĂ©riences mystiques de Sainte-ThĂ©rĂšse de Lisieux Plaque commĂ©morative dans la basilique de Lisieux. Nous savons que ThĂ©rĂšse a perdu sa mĂšre Ă  l’ñge de 4 ans. Elle a Ă©tĂ© Ă©branlĂ©e par cette douloureuse perte et a choisi sa sƓur aĂźnĂ©e, Pauline, pour sa seconde maman ». Or, en 1882, Pauline l’abandonne pour entrer au Carmel de Lisieux. ThĂ©rĂšse est Ă©branlĂ©e psychologiquement et tombe gravement malade. Toute sa famille prie pour sa guĂ©rison. Le 13 mai 1883, la Vierge-Marie lui apparaĂźt et la guĂ©rit. C’est un miracle. DĂšs lors, ThĂ©rĂšse souhaite entrer, comme sa sƓur Pauline et sa sƓur Marie, au Carmel et son pĂšre accepte qu’elle les rejoigne dĂšs l’ñge de 15 ans. Avant cela, il faut obtenir la permission du Pape LĂ©on XIII. C’est ainsi qu’en 1887, avec son pĂšre, elle part en pĂšlerinage en Italie afin de voir le pape. C’est durant ce pĂšlerinage que ThĂ©rĂšse approfondit sa foi. Elle rĂ©alise qu’elle a Ă©tĂ© mise sur terre pour rĂ©aliser la volontĂ© de Dieu. Sa vocation se fortifie et elle voit le mal autour d’elle et la vanitĂ© du monde. LĂ©on XIII accĂšde Ă  sa demande et le 9 avril 1888, ThĂ©rĂšse entre au Carmel. L’annĂ©e suivante, elle porte l’habit de carmĂ©lite et prend le nom de sƓur ThĂ©rĂšse de l’Enfant-JĂ©sus et de la Sainte Face. En 1894, Ă  la demande de MĂšre AgnĂšs, qui n’est autre que sa sƓur Pauline, sa deuxiĂšme maman, elle commence la rĂ©daction de ses souvenirs d’enfance. Cet ouvrage, Histoire d’une Ăąme » s’achĂšvera en 1897 et sera publiĂ© en 1898. C’est dans cet ouvrage que l’on dĂ©couvre la foi profonde qui anime la jeune femme, sa confiance totale en Dieu et son message qu’elle dĂ©sire transmettre, celui de la voie d’enfance spirituelle », cette voie qui reprĂ©sente le chemin spirituel Ă  adopter afin d’accepter sa condition d’humain et de s’offrir Ă  Dieu malgrĂ© les Ă©preuves. Tout au long de sa vie, ThĂ©rĂšse vit une relation de plus en plus intime avec Dieu. C’est d’ailleurs cet abandon, cette foi, ce dĂ©sir de transmettre sa foi qui lui vaudront d’ĂȘtre bĂ©atifiĂ©e puis canonisĂ©e. En avril 1896, ThĂ©rĂšse a une crise d’hĂ©moptysie et elle meurt de la tuberculose le 30 septembre 1897 en nous laissant son tĂ©moignage dans son manuscrit dans lequel elle exprime la façon dont elle comprend la vie chrĂ©tienne et la relation de Dieu. Ce livre rencontrera un important succĂšs en France et dans le monde entier. Dans Histoire d’une Ăąme », ThĂ©rĂšse a laissĂ© parler son cƓur et nous raconte l’ardeur de sa foi. On est surpris de constater que, malgrĂ© son jeune Ăąge, elle avait une Ă©tonnante connaissance des Écritures et de la thĂ©ologie. Ce livre, paru un an aprĂšs sa mort, a Ă©tĂ© traduit en plus de 60 langues. Et c’est grĂące Ă  lui que le monde entier a pu dĂ©couvrir le mystĂšre de la vie intĂ©rieure de ThĂ©rĂšse avec Dieu. La jeune fille nous dit comment rĂ©aliser et atteindre la saintetĂ© dans la vie quotidienne, non pas par des actes extraordinaires, mais par la monotonie des petits sacrifices offerts Ă  Dieu par amour. DĂšs la parution du manuscrit, son tombeau attira les fidĂšles et trĂšs vite des Ă©vĂšnements miraculeux ne tardĂšrent pas Ă  ĂȘtre attribuĂ©s Ă  son intercession. C’est ainsi qu’il fut ouvert une enquĂȘte en vue de sa bĂ©atification et de sa canonisation. BĂ©atification et canonisation Dans le Carmel de Lisieux, chĂąsse oĂč repose le gisant de marbre teintĂ© de sainte ThĂ©rĂšse de Lisieux. L’introduction de la cause de bĂ©atification de ThĂ©rĂšse de Lisieux surprend tout le monde. Pourtant, elle sera bĂ©atifiĂ©e le 10 juin 1914 et canonisĂ©e le 17 mai 1925 par Pie XI qui l’appelait d’ailleurs l’étoile de son pontificat. DĂšs lors, sa tombe accueille tellement de pĂšlerins, que l’on Ă©difia l’immense basilique Sainte-ThĂ©rĂšse de Lisieux en 1929. Puis, ThĂ©rĂšse est proclamĂ©e sainte patronne secondaire de la France en 1944 par Pie XII et, le 19 octobre 1997, docteur de l’Église par Jean-Paul II. Le pape explique ce choix dans un discours que je vous livre Dans les Ă©crits de ThĂ©rĂšse de Lisieux, sans doute ne trouvons-nous pas, comme chez d’autres docteurs, une prĂ©sentation scientifiquement organisĂ©e des choses de Dieu, mais nous pouvons y dĂ©couvrir un tĂ©moignage Ă©clairĂ© de la foi qui, en accueillant d’un amour confiant la condescendance misĂ©ricordieuse de Dieu et le salut dans le Christ, rĂ©vĂšle le mystĂšre et la saintetĂ© de l’Église. » Par lĂ , on sait que ThĂ©rĂšse de Lisieux avait une foi inĂ©branlable en Dieu et que mĂȘme dans la maladie, elle a continuĂ© Ă  le prier et Ă  lui vouer un amour sans concessions. En 1923, Daniel Brottier, qui vient d’ĂȘtre nommĂ© Directeur de l’Ɠuvre des Orphelins Apprentis d’Auteuil, dĂ©cide la construction d’une chapelle dĂ©diĂ©e Ă  la Bienheureuse ThĂ©rĂšse de l’Enfant JĂ©sus », car il est convaincu que cette derniĂšre l’a protĂ©gĂ© pendant la Grande Guerre et qu’elle a gardĂ© les enfants d’Auteuil. Cette conviction sera renforcĂ©e lorsque Daniel Brottier apprendra que ThĂ©rĂšse priait pour les enfants d’Auteuil avant sa mort. Elle deviendra donc la petite maman des enfants d’Auteuil ». La chapelle sera Ă©rigĂ©e en un temps record et la premiĂšre messe sera donnĂ©e dĂšs 1935. Cette chapelle est le premier sanctuaire en France dĂ©diĂ© Ă  sainte ThĂ©rĂšse. Aujourd’hui, elle abrite des reliques de la religieuse et est ouverte au public toute l’annĂ©e. Dans le mĂȘme temps, le collĂšge Saint-François-de-Sales d’Alençon entreprend la construction d’une chapelle en l’honneur de sainte ThĂ©rĂšse de l’Enfant-JĂ©sus. Aujourd’hui, cette chapelle se trouve toujours au sein de l’ensemble scolaire Saint-François-de-Sales Ă  Alençon. Antoine Herzog, fondateur des usines Herzog, entreprend la construction d’une chapelle privĂ©e qui fut dĂ©diĂ©e, en 1925, Ă  sainte ThĂ©rĂšse de Lisieux. Cette chapelle, situĂ©e Ă  Logelbach dans le Haut-Rhin, abrite une relique de la sainte et est une rĂ©plique de la Sainte-Chapelle de Paris. Aujourd’hui, la chapelle est ouverte au public. D’autres chapelles et Ă©glises furent Ă©rigĂ©es partout en France, notamment Ă  Toulon, Ă  Metz. PriĂšre Ă  sainte ThĂ©rĂšse de l’Enfant JĂ©sus Vitrail reprĂ©sentant la sainte, Porto Aegre, BrĂ©sil. Cette priĂšre Ă  sainte ThĂ©rĂšse de l’Enfant JĂ©sus est trĂšs puissante pour les demandes temporelles et spirituelles. Ceux Ă  qui nous l’avons recommandĂ©e ont Ă©galement Ă©tĂ© stupĂ©faits par son efficacitĂ©. Je vous encourage Ă  la rĂ©citer tous les jours. Ô glorieuse Ste. ThĂ©rĂšse, Ă©levĂ©e par Dieu Tout-Puissant pour aider et conseiller l’humanitĂ©, j’implore votre miraculeuse intercession. Vous ĂȘtes Ă  tel point si puissante pour obtenir auprĂšs de Dieu les faveurs et les grĂąces, que la sainte MĂšre l’Église vous a nommĂ© “la plus grande Sainte des temps modernes.” Avec ferveur, je vous supplie de rĂ©pondre Ă  ma demande. 
 spĂ©cifier votre demande
 En plus de rĂ©aliser vos promesses de vous trouver en Paradis pour faire du bien sur terre, et de faire tomber depuis le Ciel une pluie de roses. DĂšs lors, chĂšre petite fleur, je ferai en sorte que votre appel soit partout connu, et je ne cesserai pas de conduire les gens vers JĂ©sus Ă  travers vous. Ainsi soit-il. » Sainte ThĂ©rĂšse de Lisieux Ă©tait une jeune fille inconnue jusqu’à la publication de son livre aprĂšs sa mort. DĂšs lors, on la reconnaĂźt comme sainte et on l’invoque pour nous protĂ©ger et pour des demandes diverses. N’hĂ©sitez pas Ă  prier, car sainte ThĂ©rĂšse de Lisieux est trĂšs Ă  l’écoute et vous aidera certainement Ă  trouver le chemin de la foi, de l’humanitĂ©, de l’amour, de la bonté  NeVHd.
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